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Jeux interdits sur la plage
14 février 2010

Hésitation (1ère partie)

Comme souvent le dimanche, nous avions décidé de passer la journée à la plage.
Certes, le réveil ne s'était pas fait aux aurores... Enfin si, mais le lever, lui, avait été fort retardé par de multiples galipettes, de celles qui peignent des couleurs de l'arc-en-ciel même les journées les plus grises. Mais passons, ce n'est pas le sujet du texte.
Nous étions partis alors que le soleil commençait à chauffer très agréablement l'atmosphère. Après une petite demi-heure de marche nous avons posé nos affaires sur cette plage que nous connaissons si bien, théâtre très souvent de nos après-midi coquines. En un rien de temps nous étions nus, et déjà tu m'appelais depuis les premières vagues qui, je le voyais, prenaient un réel plaisirs à caresser tes fesses.
Je les comprends, c'est un véritable plaisir que de caresser tes fesses. Je ressentirais presque une pointe de jalousie en y repensant...

Nous avons joué dans l'eau une bonne heure, nageant, plongeant. Quelques pauses câlines de temps en temps nous permettaient de reprendre un peu notre souffle. Cette fois c'est dans mes mains que se trouvaient tes fesses, à mon grand plaisir. Elles étaient douces et fraiches du fait de l'eau dans laquelle nous venions de passer quelques temps. Le contraste avec ton ventre brûlant collé contre le mien était saisissant, excitant... Très agréable. Je te serrait un peu plus fort contre moi pour mieux le sentir.

Mais tu voulais te reposer un peu, profiter du soleil. C'est vrai que la matinée avait été sportive. Nous sommes remontés sur la plage pour aller nous allonger sur un sable fin que le soleil avait agréablement chauffé, presque exprès pour nous.
Tu t'es allongée, encore ruisselante de l'eau de la mer.
Je me suis allongé non loin de toi pour laisser le soleil profiter librement de ton corps.

Maintenant je te regarde. Tu es allongée sur le dos, la tête légèrement inclinée vers moi, les yeux fermés.
Tu as gardé une jambe sur le sol, mais l'autre est repliée, comme exprès pour soulever légèrement le bas de ton ventre vers moi. J'aperçois le soleil qui joue parmi les dernières gouttes d'eau qui se cachent sur le haut de ta toison. Je m'imagine l'une d'elle, cachée dans ton intimité, bercée par le soleil haut perché, enivré de ton parfum, et un sourire d'aise parait sur mon visage.
Tes yeux fermés ne seraient-ils que mi-clos? Un sourire apparait sur tes lèvres.
Tu es belle, si belle...
Le soleil donne à ta peau des reflets tour-à-tour nacrés, puis ambrés, parfois couleur de miel. Ton entrejambe, dans l'ombre de ta cuisse relevée, prends des couleurs de pains d'épices. Tes tétons se dressent sous le plaisir que te procure la caresse du soleil. Je le laisse faire en amant partageur; tu sembles aux anges.

Non loin de là deux mouettes viennent de se poser. C'est amusant, d'où je suis j'ai l'impression qu'elles sont posées sur ton ventre. Aux premiers coups de becs qu'elles donnent, je frémis, j'ai mal pour toi. Mais non, c'est sur le sol qu'elles tapent, pas sur ton ventre. Pourtant l'effet est saisissant et lorsqu'elles se déplacent vers tes seins c'est presque insoutenable.
Il faut croire qu'elles ont vu mon désarrois car elles s'en éloignent rapidement, et je me sens soulagé.
Intriguée par mon regard, que tu épies entre tes paupières, tu te tournes lentement pour chercher ce que j'observe. Le sable s'est collé contre ton corps mouillé lorsque tu t'es allongée. Tes fesses se trouvent toutes auréolées de grains de couleurs. Au moindre de tes mouvements, de tes frémissements même, milles éclats irisés se jettent à ma rencontre, comme pour me dire : "viens, viens goûter la douceur de ce paysage sans nul autre pareil".

J'hésite...
J'aime tant te regarder offrir ton corps au soleil, et à ma vue je le sais bien.
La courbe de tes hanches, qui rehausse si bien tes jolies fesses fermes et rondes, se termine en une douce courbe qui dessine une fine taille. Cette courbe est un appel à elle toute seule à un merveilleux festin. Un festin de volupté, de délices interdits, de parfums et d'arômes dont ton corps seul a le secret.
Je ne sais comment composer le menu, dans quel ordre agencer les plats.
Tout me tente et mon appétit grandit. Mais par quoi vais-je commencer?
J'hésite...

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Commentaires
M
Bel hommage à sa belle,<br /> Mais pense à ce que tu lui diras dzns vingt ans sur cette même plage dans la même situation. <br /> Les fesses: affaissées<br /> Le ventre: dilaté<br /> Les cuisses: ondulées<br /> Les lêvres: moins gourmandes<br /> Le visage: moins rond<br /> Si tu l'aimes vraiment tout ça ne comptera pas pour toi et la St Valentin sera encore une occasion de lui prouver que malgré tous ces changement tu l'aimes encore.<br /> Marilug 33
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